La fausse endormie

Ni mes bras, ni ma tête, ne voulaient répondre. J’étais seule, sans vraiment l’être, dérivant sur ces eaux sombres.
La sensation que l’on se noie et que la bête guette dans l’ombre. Je n’y crois, toujours pas, que j’eusse senti sa chair sombre…