Zi-wa

zi-wa

Leur respiration devient lente et leurs cœurs se répondent dans des séries de battements inaudibles.

La Zi-wa frappe le sol de son bâton, les coups résonnent et les deux jeunes femmes écoutent plus attentives que jamais.

La douleur que leur infligeait cette stricte immobilité s’envole peu à peu, il ne reste plus que les échos du bâton dans la grande salle de pierre, il ne reste plus que l’atmosphère vibrante autour d’elles et cet étrange picotement venant des pieds et allant jusqu’en haut de leurs cranes.